dimanche 31 août 2014

Au théâtre, cette semaine! [Du 31 août au 6 septembre 2014.]


Je reviens, ce matin, avec une section de ce blogue que j'ai mis un peu de côté au cours des derniers mois, soit le calendrier théâtral hebdomadaire. Pour l'élaborer, je fais le tour des sites des compagnies où j'y cueille les informations sur les productions. Pour les autres (collectifs, regroupements ponctuels, cégeps et université, activités bénéfices, réunions, ateliers, etc.), le mieux serait que je reçoive par courriel (clapoty@hotmail.com) ces informations. 

Du 3 au 6 septembre 2014 (du mercredi au samedi)
Représentations jusqu'au 20 septembre 2014
Salle Murdock (Chicoutimi), 20h
Entrées: 22,50$ / 17,50$ étudiants
Réservations: 418-698-3000 poste 6561 ou via lien Facebook

Le Théâtre du Faux-Coffre présente Barabbas dans la Passion - Les origines du premier Clown Noir, une grandes aventure qui n'avait pas vraiment revue la couleur des planches depuis sa création (si ce n'est qu'une ou deux représentations scolaires).  Les Clowns noirs, fraîchement sortis de prison, découvrent de vieux documents retraçant la vie du tout premier clown noir, Barabbas, et décident d'en faire un spectacle. Sans le savoir, cette décision aidera à donner à Barabbas la réputation de criminel qu'on lui connaît aujourd'hui, comme quoi les gestes que nous posons sans réfléchir peuvent, dans certains cas exceptionnels, influencer à la fois le passé et le futur. Certains appellent ça de la magie; les Clowns noirs appellent ça du théâtre. (À l'époque de la création - et à l'époque où j'étais un peu plus prolixe sur ce blogue! - j'avais écrit ce billet.)

Du 4 au 6 septembre 2014 (du jeudi au samedi)
Représentations jusqu'au 27 septembre 2014
Atrium (150 rue Racine E, Chicoutimi), 19h30
Entrées: 20$ / 15$ étudiants
Réservations: 418-376-2887 ou via lien Facebook

La Maison des Artistes (j'en ai parlé ) présente Le VoisinDe jeunes gens soumis à la loi de l'attraction se retrouvent pris-au-piège de leur environnement. À travers leurs fabulations et leurs névroses, ils sont à la recherche de l'amour mais prennent tous les mauvais moyens pour y arriver. Cette comédie déjantée joue sur les limites entre l'imagination et la réalité, entre les mondes qu'on se crée et ceux qui existent, et ne manque pas d'interpeller le public face aux questions sur les relations, le contact humain et l'isolement où notre individualisme nous enferme. Une comédie dramatique de situation, d'incommunicabilité, mais surtout d'amour qui ne manquera pas de faire rire, réfléchir et soupirer. J'ai vu... et j'ai bien l'intention d'écrire quelque chose sur ce spectacle. 

C'est à peu près tout pour cette semaine... je crois... Si j'oublie des trucs, je peux les rajouter... en autant qu'on me le fasse savoir.