jeudi 10 octobre 2013

Le choix.


À partir du moment où un acteur est devant moi, 
où il est décidé que c'est lui qui joue, 
le degré de perfection ne m'intéresse plus. 
Je ne trouve jamais, durant le travail, 
que ça n'est pas assez bien, 
je joue avec la personne qui est devant moi.

J'aime bien cette vision d'Antoine Vitez à propos de l'acteur... et de son intérêt à travailler à partir de celui-ci et non pas d'essayer de trouver ou d'imposer quelque chose hors de lui.