vendredi 18 septembre 2009

Mes activités à venir...


Bon, tout se place peu à peu...

Dans la prochaine année, soit pour 2009-2010, mon agenda s'est bien remplit...

Ainsi, outre le doctorat et la gestion courante du Théâtre 100 Masques (et de toutes ses activités), je ferai, pour ce dernier, la mise en scène du spectacle de Noël de même que le prochain théâtre d'été... de la tradition des Fêtes à la comédie antique.

Entrelacés entre ces 4 pôles de ma vie professionnelle, je vais également participer, à titre de coordonnateur, au projet de lectures des auteurs régionaux dans le cadre de l'événement - dont le nom m'échappe - créé à partir de Chicoutimi en bouffe...

Enfin, je suis à lire un texte qu'on me propose de monter dans les mois qui viennent... ce qui devrait se faire aussi. J'y reviendrai très bientôt.

Bref, je n'ai pas à me plaindre...

De la théâtralité...

Une bonne partie de mes années prochaines sera consacrée à des recherches sur le théâtre actuel, sur la définition d'une nouvelle formalisation, d'une nouvelle théâtralité...

À ce propos, je viens de trouver, dans mes pérégrinations sur la rue Saint-Jean (parce que je suis à Québec... un peu contre mon gré... et pour la politique!), le numéro de l'automne 2008 de la revue Tangence ayant, comme sujet d'études, le Devenir de l'esthétique théâtrale sous la direction de Gilbert David et d'Hélène Jacques.


Le sujet est fort intéressant (et fort bien mené!) pour comprendre le fonctionnement du théâtre contemporain... et repose la question tant de fois tournée et retournée: qu'est-ce que la théâtralité...

[...] La notion de «théâtralité», que l'on a pensé apte à cerner la spécificité de l'art du théâtre, se révèle plus que jamais fuyante: en rompant avec les catégories de la modernité, l'esthétique théâtrale n'a eu de cesse de se «dé-définir» au fil du temps, en rendant caduques les catégorisations aussi bien que les critères formels et discursifs qui permettaient d'appréhender les productions du théâtre contemporain, d'en discuter la valeur et la pertinence. Sur fond de «surmodernité» et sur les ruines des Grands Récits, nous pensons plus que jamais nécessaire de mettre au jour les nouvelles modalités d'une critique des oeuvres, par-delà la singularité des orientations que prennent les créateurs du théâtre contemporain.

J'y reviendrai sans doute en long et en large dans les prochains jours, les prochaines semaines... le sujet promet!