vendredi 8 mai 2009

Admis!


Me voilà donc admis (pour la troisième fois... mais cette fois, c'est la bonne!) aux études doctorales de l'Université Laval.

Dès septembre, j'entreprendrai de nouvelles recherches dans le cadre du programme de Littérature et arts de la scène et de l'écran... avec, comme projet, le sujet inscrit dans ce billet du 20 mars dernier...

Je ressors donc mon sac d'école et mon coffre à crayons!!!

Les théâtres associés

À quand une Association officielle des Théâtres saguenéens? Pour consolider les acquis des tables de compétence du C.R.C., pour unifier et solidifier le milieu, pour se donner une voix forte lors des événements, pour défendre tous les organismes et artisans... Une espèce de pendant de l'U.D.A. et de l'A.C.T.... Une structure de représentation... Non pas construite autour d'une esthétique commune ou de théories artistiques (trop diversifiées), mais plus autour de mode de fonctionnement, de mise en commun des forces et des compétences, d'une professionnalisation, d'une portée plus grande que chacune des cellules artistiques sur le territoire... Un peu à l'instar du Cartel des Quatre...

De gauche à droite: Charles Dullin, George Pitoëff, Gaston Baty, Louis Jouvet

En France, dans les années 20-30, les quatres grands metteurs en scène de l'époque - Jouvet, Dullin, Baty et Pitoëff - se sont réunis au sein d'un cartel (qu'on nommera le Cartel des Quatre), une association d'entraide, « basée sur l'estime professionnelle et le respect réciproque qu'ils ont les uns pour les autres ». Son but, à la fois artistique et commercial, est de donner une visibilité au théâtre et de s'élever contre la critique dramatique. (Wikipédia) [...] Malgré leurs divergences, Ils se concertent sur leur programmation, coordonnant leurs activités artistiques, adoptant la même politique d’abonnements et promouvant ensemble leurs spectacles. (MSN Encarta)

Ce projet pourrait-il, ici, voir le jour? Peut-être...

Par ailleurs, je crois qu'une telle initiative fut tentée dans les années 80... mais fut abandonnée. Vue l'expansion du nombre des compagnies et des artisans, peut-être serait-il temps de penser à se politiser.